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Saturday, March 26, 2016

Téléchargement Gratuit La Subversion du christianisme, by Jacques Ellul

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Certes, des années d'enfance à la vie, nous croyions en permanence pour profiter de l'analyse. Il est non seulement d'examiner la publication de leçon mais également vérifier à tout le bien est la possibilité d'obtenir des motivations de la marque nouvelle. Les croyances religieuses, les sciences, la politique nationale, des œuvres sociales, littéraires et fictions vous enrichir non seulement pour un élément. Ayant encore plus facettes de savoir et comprendre aussi certainement vous conduire finir par être quelqu'un beaucoup plus n'a pas de prix. Oui, vient d'être précieux peut être positionné avec la discussion sur la façon dont votre compréhension beaucoup.

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La Subversion du christianisme, by Jacques Ellul

Détails sur le produit

Poche: 324 pages

Editeur : Table ronde (18 mars 2004)

Collection : La petite vermillon

Langue : Français

ISBN-10: 271032444X

ISBN-13: 978-2710324447

Dimensions du produit:

17,5 x 11 x 1,7 cm

Moyenne des commentaires client :

4.7 étoiles sur 5

16 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

90.969 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Un livre qui ne peut pas vous laisser totalement indemne. Si comme moi, vous avez été un fervent chrétien, vous êtes forcés de reconnaître Jacques Ellul comme un prophète des temps modernes. Si des doutes ont envahi votre vie sur les buts de Dieu alors vous avez entièrement raison de lire ce livre, il vous aidera à penser la question de Dieu en-dehors de tout cadre purement religieux. Dans un autre côté il pose la question fondamentale du gap énorme entre le monde, ses institutions, son évolution, l'influence prépondérante de la pensée chrétienne sur cette évolution; il pose la question de savoir qu'est-ce que c'est au fond véritablement la pensée chrétienne et qu'est-ce qu'elle n'est pas. Et il cherche enfin à comprendre pourquoi une telle différence entre le véritable christianisme et le monstre, l'imposteur devenu religion qui a pris sa place. D'une nécessité véritablement urgente, il est regrettable que ce message ne soit pas suffisamment entendu. En ce qui me concerne, ce livre a transformé mon existence ainsi que ma vision de Dieu.

Tout chrétien devrait lire ce livre qui dénonce l'hypocrisie du Vatican. Si l'on s'intéresse à l'église, il faut avoir le courage d'affronter la vérité. J'avoue avoir eu souvent envie de jeter ce livre par la fenêtre mais j'ai tenu jusqu'au bout et j'en ai tiré le plus grand bienfait. Un jour, on comprend que l'église est d'abord à l'intérieur de nous...

Très intéressant

Je regrette un peu de ne pas avoir lu une ligne d'Ellul avant d'avoir commencé ma sixième décennie. On m'avait parlé de l'homme, de sa pensée critique, inclassable, des multiples courants qui se revendiquent à tort ou à raison comme ses continuateurs.J'ignorais tout du théologien. Cette lecture est sans doute la plus sévère paire de claques que je me sois prise récemment.L'auteur, par une écriture nerveuse, urgente même, montre comment l’Église, les Églises, en tant qu'institution(s), se sont peu à peu éloignées du mouvement de Jésus. L'essence même de l'Évangile aurait été dévoyé. Non qu'il faille se figurer pour autant que les Églises primitives vivaient dans un parfait irénisme ; la compréhension du Fils de l'Homme et de ses paroles n'étaient pas identiques au sein du mouvement de Paul et du milieu johannique, même si la confession de foi est sensiblement la même pour tous. Jésus a été peu compris de son vivant, et bien différemment par les foules, les disciples, les prêtres et le pouvoir.Pour Ellul, l'éloignement de la source même de la foi devenait fatal du moment où le mouvement de Jésus grandissait au sein de l'empire romain et que le pouvoir politique harcelé voulait asseoir sa légitimité sur le mouvement spirituel en expansion alors. Il faut dire que les dieux romains commençaient à ternir et lasser.La conversion de Constantin, sincère ou pas, coïncide avec le moment où l'Église-institution a franchi une limite « contre nature » : s'allier avec le pouvoir temporel. Ce rapprochement n'a pas été nécessairement bien pesé par les successeurs des apôtres. La suite de l'Histoire est plus grave, plus tragique, en matière de compromission : l'alliance du sabre et du goupillon n'est pas qu'un aphorisme complaisant. En fin de compte, pourquoi une Église devenue si peu évangélique, si moralisante, faisant si peu confiance à l'intelligence ? Pourquoi une telle compromission avec "le prince de ce monde", un versement dans le moralisme avec liste de péchés plus ou moins véniels, indulgences... et salut négocié ?L'auteur fait voler en éclat tous les débris d'un catéchisme mal avalé à l'adolescence (je fus une oie gavée qui a tout régurgité).Discours perturbant puisqu'Ellul nous montre à quel point l'Évangile remet tout en cause, pouvoirs, institutions, orgueil d'une vie matérielle « réussie »-et parfois pauvre par ailleurs, confiance en ses valeurs...et à quel point nous faisons Dieu à notre image, de bonne foi souvent, comment l'Évangile nous pousse à nous réformer sans cesse et à piétiner nos bonnes consciences assises. Protestant, donc libre théologiquement parlant, probablement plus influencé par Calvin que par Luther, pessimiste sur l'homme, l'auteur sait combien nous sommes si peu à même de répondre à un Dieu que nous invoquons ou recherchons, et combien il est difficile de "suivre" Jésus sans le trahir. La gratuité du Dieu chrétien est en effet insupportable à qui veut bien l'entendre. Nous sommes tellement enclins à ne suivre que nous même ou une quelconque idole, un homme providentiel.Le seul péché d'Israël, l’idolâtrie, reste bien sûr aussi le notre.Ellul ne fait pas vraiment le procès de l'Église, il distingue parfaitement, au milieu des erreurs, les véritables esprits évangéliques. "Ces hommes d'Église, hélas, ne sont pas tous des dégueulasses", chantait Brassens...Les propos d'Ellul ne sont pas foncièrement anticléricaux, mais sont, à mon avis, bien plus percutants.J'émettrai néanmoins un certain nombre de réserves :1/ Le christianisme aurait trop grenouillé avec l'islam : il est indéniable que le brassage des cultures y a joué pour beaucoup ; ce n'est pas forcément un mal. Je connais trop peu les textes de l'islam. Si l'on juge l'arbre à ses fruits, il y a pas mal de fruits pourris aux pieds du prophéète. Je suis d'accord qu'il est vain de chercher une parenté entre Islam et judéo-christianisme. Ce n'est pas pour autant qu'il faille dénuer à l'islam toute valeur spirituelle. Il me semble néanmoins lire chez Ellul, vis à vis de l'Islam tel qu'il se présente dans sa version fondamentaliste une vision prophétique.2/ Le pessimisme calviniste n'est pas le mien : je n'oublie pas que beaucoup de textes du Premier Testament sont des écrits où la promesse est fondamentale et omniprésente, que le monde est foncièrement bon malgré les chutes répétées d'un Israël à la nuque raide. Je pense qu'il nous faut absolument lire ces textes avec une compréhension juive.3/ Ellul, sans être fondamentaliste dans sa théologie-qu'il relativise sévèrement comme toutes les théologies- n'a cure de toute critique textuelle. Tout est vrai, même si la vérité doit être absolument dégagée du texte écrit. Que Paul ne soit pas fondamentalement misogyne, je le crois volontiers, mais les exégèses fournies par l'auteur des quelques lignes controversées de l'apôtre vis à vis de femmes sont très peu convaincantes, même si elles peuvent être reçues. Les femmes ont un rôle dans « l'histoire du salut », rôle qu'il ne faut pas surestimer. Les écrits bibliques reflètent un monde avant tout patriarcal où la femme est systématiquement infériorisée. Il n'est pas inconvenant de penser que Paul avait les préjugés de son temps et il serait anachronique de lui en faire grief.4/ Et pourtant elle continue à bouger : oui, mais je me demande si Ellul, dans sa dernière partie, est bien clairvoyant. Les renouveaux, qu'ils soient pentecôtistes ou charismatiques, me posent question, quant à leur fondamentalisme. Se déclarer connecté en permanence à l'Esprit ne dispense pas du discernement (Paul était très rigoureux sur ce point). Les prédications baptistes ont fait bien des dégâts aussi bien chez les amérindiens que chez les peuples arctiques. Il me semble qu'en célébrant le Grand Manitou, les indiens sont bien plus proches de la divinité que les prédicateurs du péché originel. Ellul décerne par ailleurs un satisfecit justifié à Wałęsa,...mais « oublie » Karol Wojtiła. Il oublie aussi l’ambiguïté de Wałęsa, son virage populiste et homophobe..5/ Ouverture aux autres spiritualités : là , c'est ensemble vide (mais ma connaissance d'Ellul est très fragmentaire, il est donc très possible que je me trompe). Je pense qu'il est aussi des spiritualités agnostiques (même si le « »fond » est bien chrétien). Chez les « athées », Onfray m'est insupportable...Comte Sponville me semble digne d'être lu et écouté. Et le mécréant Brassens m'est toujours apparu bien plus évangélique que bien des « bons chrétiens ». On m'excusera, j'espère de cette longue digression et de préférer les chemins de traverses aux autoroutes.Bref, ces réserves n’obèrent pas la très bonne tenue de cet essai, sa forte exigence spirituelle et l'intelligence de la foi de son auteur..Texte revu le 02 décembre 2014

ok

Voici un essai pondéré, clair et objectif, sur l'évolution de l'Eglise que son succès même a obligée à intégrer quantité de croyances et de pratiques étrangères à sa nature et à ses dogmes fondateurs. Ellul montre que l'Eglise, si elle se veut fidèle, ne peut qu'être minoritaire dans la société, non inféodée au pouvoir et non violente. Il montre comment l'Esprit Saint inspire un retour aux sources à certains chrétiens (François d'Assise par exemple), et ceci à toutes les époques, et malgré tous les compromis auxquels l'Eglise se livre et s'est livrée depuis son origine. Il en vient donc à distinguer nettement le christianisme (en tant que isme)du message initial. Ce que l'on connaît généralement comme constituant le christianisme n'étant que la déformation du message initial. Cette thèse, bien défendue, ne va cependant pas sans critiques de notre part : 1°) Ellul, en bon théologien, identifie le pur message de Jésus aux dogmes fondamentaux de la théologie. Il repousse d'un revers de main la critique historique des textes bibliques et évangéliques et ne veut considérer ceux-ci que comme 'parole de Dieu'. C'est une position de foi, mais qui n'est tenable qu'en refusant la discussion objective sur les fondements de la foi, nous semble-t-il. 2°) Ellul, dès lors qu'il refuse toute autre conception de Jésus que celle de la théologie classique, comme fils unique de Dieu et Sauveur, se trouve justifié de dégager, sans explication, toutes les autres religions et spiritualités. Celles de l'orient sont taxées d'erreur, sans commentaire, l'islamique est envisagée plus en détail et d'une façon critique, mais solidement fondée historiquement. Au total ce livre présente un grand intérêt dans l'analyse de la déviation de l'Eglise depuis ses formes originelles (telles que décrites dans les Actes des Apôtres, et les lettres de Paul). Mais, lorsque l'auteur quitte l'analyse historique et objective,dans laquelle il excelle, pour entrer dans l'affirmation de foi, qu'il n'explique jamais et ne justifie pas, se refusant à faire de la propagande religieuse, alors il se retrouve dans une sorte d'intégrisme, certes calme, respectueux, non violent, mais ne laissant pas d'autre voie sprituelle à l'homme que celle du christianisme selon les écritures canoniques. Cette position de foi, quasi intégriste, étonne chez un homme si pondéré, si calme, et si objectif dans ses argumentations. Je ne suis pas croyant, mais son livre de croyant m'a apporté beaucoup sur la question du christianisme. Seulement je considère que "l'Esprit souffle où il veut", comme il est écrit dans Jean, et ne puis accepter qu'il ne souffle point sur d'autres traditions spirituelles, particulièrement orientales, même si elles ne sont pas toutes à "mettre dans le même sac". Quoi qu'il en soit, cette foi là est plus respectable que toutes les compromissions avec le monde profane qu'offre généralement les apôtres religieux. Ce qui est quand même curieux, c'est que Ellul a écrit un ouvrage très pertinent sur les "Propagandes" et qu'on ne peut s'empécher de penser que la foi a quelque rapport avec le sujet : pourquoi les fils de chrétiens, s'ils sont croyants, sont-ils généralement chrétiens, les fils de musulmans, musulmans, et les fils d'hindous, hindous ? N'existe-t-il pas une spiritualité, supra religieuse, qui s'affranchi de cela, et le message de Jésus ne se situait-il pas à ce niveau ? Michel Malle

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